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Times NewRomance - Marie Faucheux


À 22 ans, Aria ne sort jamais. Ni de chez elle ni avec personne.


Atteinte d’agoraphobie sévère, sa vie ne tourne qu’autour de la littérature, son chat et Disney. En tant qu’écrivaine, tout cela lui convient, jusqu’au jour où son éditeur lui impose l’impossible : écrire une New Romance ― sans expérience ― et sortir de chez elle. Après 5 ans de confinement.


Alors, quand elle rencontre un drôle de comédien qui, par miracle, lui propose une issue à ses nombreuses angoisses, tout bascule.



À 24 ans, Aaro plaque tout. Les plateaux télé et sa popstar infidèle.


Être le fils unique de deux icônes de la télévision française n’est pas de tout repos. Devenir l’acteur de référence des productions à l’eau de rose non plus. Bien qu’il rêve de cinéma, il se sent prisonnier de cette notoriété qu’il ne supporte plus.


Alors, quand il rencontre une mystérieuse écrivaine qui, par miracle, ne le connaît pas, il est prêt à tout pour qu’enfin, tout bascule.


Je tiens, tout d’abord à remercier Marie Faucheux pour sa confiance. Grâce à elle, j’ai pu faire la rencontre d’Aaro et Aria…


Je ne vais pas passer par quatre chemins, j’ai adoré ce roman. C’était une lecture pleine d’humour et de légèreté malgré la situation d’Aria. J’ai rarement autant ri pendant une lecture, Aaro et Aria sont tellement drôles et sarcastiques. J’ai adoré leur espièglerie et leurs provocations permanentes.


Et quand le résumé annonce une protagoniste fan de Disney, c’est un euphémisme, l’histoire est truffée de références et citations de cet univers ! Aria et moi aurions pu nous entendre à merveille.


J’ai également aimé la façon dont Marie Faucheux modifie le schéma classique que l’on retrouve très souvent dans la New Romance, en même temps avec un personnage principal qui a horreur de ce genre littéraire, j’aurais dû m’y attendre, mais non je pensais sincèrement que nous le suivrions. Je pense que même Aria aurait pu changer d’avis après cette lecture.

Même si, comme le dirait l’héroïne « ma maladie ne me définit pas », l’agoraphobie prend une place importante dans ce récit. Je connaissais mal cette maladie, j’ai donc appris beaucoup de choses au cours de ma lecture. Cela m’a permis de déconstruire certaines de mes idées toutes faites.


J’ai également appris sur l’édition et l’auto-édition, bien que je sois déjà informée sur les conditions auxquelles sont soumis les écrivains, je ne pouvais qu’imaginer le parcours de combattant que pouvait être l’édition d’un roman…


Je finirai sur une note plus légère concernant la plume de l’écrivainE (non, ce n’est pas une erreur de frappe, j'insiste simplement) que j’ai trouvée fluide, facile à lire et très riche. On y retrouve un vocabulaire très varié, mais vous ne devez pas en douter si vous avez vu son dernier post !

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